Cette chronique ne mène donc pas vers le bout du tunnel - qui n'a pas qu'un bout, d'ailleurs, puisque l'on peut en sortir par un bout ou par un autre (... si l'on parvient à en sortir, bien sûr !).
Et en sortir n'est qu'un bout d'une discussion sur les bouts, dans la mesure où l'on peut "prendre" ce tunnel, et ce par ce que l'on considère être une entrée du tunnel, lorsqu'on a pris ce qui aurait pu être le... bout du tunnel - car chaque bout est une entrée, et inversement (nous n'aborderons pas ici la question des bouts bouchés, qui n'ouvrent pas suffisamment de perspectives).
Avant de continuer, vous aurez je pense compris que prendre le tunnel est une condition qui doit impérativement être remplie pour que la question d'une sortie éventuelle se pose.
Avant de continuer, vous aurez je pense compris que prendre le tunnel est une condition qui doit impérativement être remplie pour que la question d'une sortie éventuelle se pose.
Mais reprenons, en précisant que "prendre" le tunnel n'est pas s'en emparer ; s'en saisir, même si le tunnel, lorsque nous l'empruntons, peut, lui, nous saisir (d'effroi, etc.). Notez bien que j'écris : "lorsque nous l'empruntons", car le tunnel ne se "donne" pas... Il faut le mériter. Puis le rendre à d'autres que soi, ensuite, lorsque l'emprunt se termine (même s'il est possible de l'emprunter plusieurs fois, sachant que le prêt peut être gratuit ou payant, selon les tunnels).
Le prochain numéro de CHRONIQUE INUTILE DU VENDREDI (La) vous causera d'un autre truc.
Le prochain numéro de CHRONIQUE INUTILE DU VENDREDI (La) vous causera d'un autre truc.