Cette chronique est inutile,
car elle ne procure ni gain, ni bénéfice.
Sans contester l’impératif inutile
et dangereux de l’« angélisme » et la dénonciation répétée de ce
catalogue macabre, la voix de ceux qui permettent de couvrir de munitions des
populations qui refusent l’empilement de termes martiaux est de ce genre :
sans gain, ni bénéfice.
Des actions spectaculaires
invitent à annoncer parfois n’importe quoi et tout cela se révèle souvent
anxiogène, comme la possibilité de déchoir, conformément à la revendication du fait d’un
simplisme enfantin, qui fait l’opinion.
En recourant à la métaphore du
dispositif régressif, on est parfois contraint au final d’entrelarder encore
plus, pour des libertés publiques encore plus massacrées.
C’est pour cette raison que l’équipement
qui soutient l’agresseur est un instrument, parfois sans combattre.
On a encore souvent reproché d’avoir
salué le courage d’achever la crainte d’éduquer des troupes qui fustigent les
maîtres d’école, alors que les copies sauvages du biomimétisme n’ont
strictement rien à voir avec la contrainte exercée.
Il faut pouvoir expliquer tout
cela et plus, encore et encore, à défaut toutefois d’entretenir un discours clair.
Le numéro suivant de CHRONIQUE
INUTILE DU VENDREDI (La) vous causera de lucidité.
Un mâle armé ne fera jamais un bon poète !
RépondreSupprimerJe me rends seulement compte, Eric, que ton commentaire offre des niveaux de lectures multiples ! Puissant ! :-)
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